2 Avril 2021-10 juillet 2021, jour pour jour, le président Mohamed Bazoum a cent jours à la tête de la République du Niger.
C’est un truisme de le dire, les 100 jours du président de la république charrient l’espoir des nigériens. Axe par axe, point par points, les promesses électorales du premier président issu d’une alternance démocratique voulue méticuleusement par l’ancien président Issoufou Mahamadou, prennent forme. Et, cela dans une simplicité propre au philosophe roi, fidèle à la subtilité, à l’écoute et aux échanges intelligibles. ‘‘Consolider les acquis en les approfondissant et y apporter les améliorations partout où cela s'avère nécessaire’’. Voilà la clé de voute de la gouvernance actuelle.
Les partenaires sociaux en savent et ont eu l’occasion d’en y témoigner. En illustre les conclusions des différentes rencontres autour du président de la république. Sans y prendre en compte son séjour auprès des populations de Diffa et de Baroua, éprouvées par l’insécurité. Que de l’espoir pour les populations.
Les nigériens dans une grande mesure, découvrent leur président, le PNDS qui l’a porté, jubile son choix. Et ce n’est pas l’ancien président de la République Issoufou Mahamadou qui en sera du reste. Lui qui a favorisé ce passage alternatif de la démocratie nigérienne ne peut que s’enorgueillir d’en être l’artisan, l’architecte conscient de ce que le président Mohamed Bazoum est capable. Le président de la république n’en est pas passé par quatre chemins pour nous avertir sur sa vision de la gouvernance. Celle qu’il allait nous servir : « La viabilité et la pérennité du régime démocratique sont tributaires de notre capacité à instaurer une gouvernance éthique conforme au pacte de confiance qui nous lie au peuple ». Voilà chose promise, chose due !