Les dirigeants africains veulent que les actifs naturels du continent, d’une valeur de plusieurs milliers de milliards de dollars, soient pris en compte dans la mesure du PIB de leurs pays
Les chefs d’État et de gouvernement africains demandent que le vaste capital naturel du continent soit pris en compte dans la mesure du produit intérieur brut (PIB) de leurs pays. Dans un communiqué adopté mercredi 13 novembre en marge de la 29e Conférence des parties (COP29) à Bakou, ils ont souligné la contribution unique que les forêts africaines apportent au monde, notamment en matière de séquestration du carbone, de contrôle de la pollution, de rétention de l’eau et de fertilité des sols.