Hebdomadaire Nigérien d'Analyses et d'Informations Générales

La Banque mondiale et l'UNICEF acheminent des fournitures essentielles pour la réponse du Niger à la COVID-19

Niamey (NIGER), 16 juillet 2020 – La Banque mondiale et l’UNICEF ont livré au Niger plus de 3 millions de dollars de médicaments et d’équipement pour soutenir la réponse du gouvernement à la pandémie de COVID-19. L’arrivée de la cargaison de fournitures essentielles a été marquée par une cérémonie à laquelle ont assisté le ministre de la Santé du Niger, la représentante-pays de la Banque mondiale et la représentante-pays de l’UNICEF.

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Média / Covid-19 et droits des enfants : Le Conseil Supérieur de la Communication et l’UNICEF lancent le concours média 2020 !

La salle de conférence de la Maison de la Presse a servi de cadre, le mardi 9 Juin 2020, à la cérémonie de lancement du concours média 2020. C’est une initiative du Conseil Supérieur de la Communication en partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF). Cette troisième édition a été lancée par le président du Conseil Supérieur de la Communication Dr. Sani Kabir en présence du Ministre de la Communication M. Salissou Mahamadou Habi, de la représentante résidente de l’Unicef Mme Félicité Tchibindat et de plusieurs autres invités. Ce concours est une occasion pour les médias de se mettre à l’épreuve autour du thème : « La crise du Covid-19 est une crise des droits des enfants ».

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La Chine fait un don d'un million de dollars pour améliorer la santé maternelle et infantile au Niger

COMMUNIQUE DE PRESSE, NIAMEY (Niger), 1er Juin 2020 - En République populaire de Chine, la Journée des enfants est célébrée le 1er juin et est officiellement connue comme "la Journée internationale des enfants".
Au Niger, le Gouvernement chinois a fait un don d’un million de dollars pour accélérer les efforts de l’UNICEF pour améliorer la santé maternelle et infantile dans le pays. Le Niger fait partie des huit pays africains bénéficiant de ce soutien financier, qui fait partie du Fonds d'assistance à la coopération Sud-Sud de la Chine (SSCAF).

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Santé : OMS-se prépare face au nouveau coronavirus en Afrique

L’Organisation mondiale de la santé bureau régional de l’Afrique (OMS AFRO) a une conférence de presse téléphonique, le mardi 4 février 2020, à 14h00 heure du Congo Brazzaville, sur l'état de préparation du nouveau coronavirus en Afrique.
Bien qu'aucun cas de nouveau coronavirus n'ait été signalé à ce jour dans la région africaine, l'OMS a identifié 13 pays hautement prioritaires qui ont des liens directs ou un volume important de voyages vers la Chine. Il s'agit notamment de l'Algérie, de l'Angola, de la Côte d'Ivoire, de la République démocratique du Congo, de l'Éthiopie, du Ghana, du Kenya, de Maurice, du Nigéria, de l'Afrique du Sud, de la Tanzanie, de l'Ouganda et de la Zambie.

L'OMS travaille avec ces pays pour fournir un soutien supplémentaire en matière de surveillance et de dépistage.
Cette conférence téléphonique a vu la prise de parole en premier de Dr Michel Yao, gestionnaire de programme opérations d'urgence à l’OMS. Il a présenté des mesures que l'OMS et les gouvernements des pays africains prennent à la lumière des déclarations de l'épidémie comme urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). La maladie coronavirus est déclarée d’urgence de santé publique de portée internationale. Par ce fait, elle doit avoir une réponse mondiale.
Dr Michel Yao a indiqué que cette maladie présente des symptômes de rhume avec des complications respiratoires. A ce jour, il n’ya pas de cas confirmé. Mais une quinzaine des cas suspects sont envoyés au laboratoire pour examen.
Les pays sont invités à mettre en place des mécanismes de réponse rapide à travers une communication d’urgence, mettre en place des mécanismes de détection précoce avec une prise en charge des cas détectés, une surveillance permanente au niveau des services de santé et des communautés.

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Le DFID accorde à l'UNICEF un nouveau financement pour lutter contre la malnutrition infantile au Niger

Le Département britannique pour le développement international (DFID) soutient le programme de nutrition de l'UNICEF au Niger avec une contribution supplémentaire de 6,7 millions de dollars sur une période de deux ans. Cette nouvelle contribution soutiendra l'UNICEF et ses partenaires dans leurs efforts pour contribuer à réduire l'incidence de la malnutrition aiguë et à prévenir la mortalité des enfants souffrant de malnutrition aiguë sévère tout en renforçant les systèmes et la résilience dans les zones du Niger touchées par des situations d'urgence.
"Cette nouvelle contribution sera essentielle pour soutenir la mise en œuvre de notre programme dans les zones les plus touchées afin de protéger l'état nutritionnel des enfants à haut risque et de sauver la vie de ceux qui souffrent de malnutrition aiguë. Nous sommes profondément reconnaissants au gouvernement britannique de s’être de nouveau engagé envers les enfants du Niger", a déclaré Dr Félicité Tchibindat, Représentante de l’UNICEF au Niger.
L'appui se concentrera sur quatre régions - Zinder, Maradi, Tahoua, Tillaberi - où des niveaux élevés de malnutrition aiguë et/ou de conflits sont enregistrés. La récente enquête nationale sur la nutrition menée au Niger (août-septembre 2019) a montré que la situation nutritionnelle reste préoccupante dans le pays avec une prévalence de la malnutrition aiguë globale (MAG) de 10,7% et une prévalence de la malnutrition aiguë sévère (MAS) de 2,7%. Malgré les efforts récents, la prévalence et le fardeau de la malnutrition aiguë sévère restent extrêmement élevés. En moyenne chaque année, 350 000 à 400 000 enfants de moins de cinq ans sont admis dans des programmes nutritionnels au Niger.
"Des niveaux élevés de malnutrition ont des conséquences multidimensionnelles pour les enfants et auront un impact sur la résilience et le développement à long terme des ménages et des enfants, y compris des effets intergénérationnels. S'attaquer à la malnutrition est non seulement vital, mais il permet également de renforcer la résilience des communautés et des systèmes, de soutenir les objectifs de développement à long terme et d'améliorer le capital humain", explique Dr Tchibindat.
Grâce à ce financement, l'UNICEF assurera un traitement rapide et de qualité aux enfants souffrant de malnutrition aiguë sévère, intégrés dans les structures d'accueil et les services communautaires. L'UNICEF appuiera également la mise en œuvre d'une approche coordonnée et intégrée de lutte contre la malnutrition aiguë chez les enfants en garantissant un continuum de soins et de soutien nutritionnels aux enfants et aux mères. Un tel continuum de soins mettra un accent bien nécessaire sur la prévention, en particulier pour les enfants présentant un risque élevé de malnutrition aiguë, grâce à la fourniture d'un ensemble d'interventions nutritionnelles fondées sur des preuves et spécifiques au contexte.
En 2019, le soutien financier de DFID a permis à l'UNICEF de traiter plus de 157 000 enfants touchés par la malnutrition aiguë sévère dans le pays. Avec d'autres partenaires, il a également contribué à l'intensification de l'approche "PB-mères" dans la région de Maradi. Les mères et toutes les femmes en âge de procréer ont été formées à la mesure de la circonférence du bras de leurs enfants (MUAC) avec un bracelet à code couleur pour dépister et détecter la malnutrition et appliquer les pratiques d'alimentation appropriées pour les nourrissons et les jeunes enfants. Jusqu'à présent, 872 000 femmes ont été formées avec succès. Cette approche, mise en œuvre en partenariat avec ALIMA et le Programme alimentaire mondial (PAM), est l'un des moyens les plus prometteurs et les plus rentables pour le dépistage durable de la malnutrition au Niger.
Le soutien du DFID a été déterminant pour renforcer les capacités des agents de santé de la région de Zinder en matière de gestion des fournitures et des stocks. Il a également contribué à la prévention de la malnutrition en assurant la formation des volontaires communautaires de l'ICCM (Prise en charge intégrée des maladies de l’enfance au niveau communautaire) avec un ensemble de mesures préventives et promotionnelles axées sur l'alimentation du nourrisson et du jeune enfant.
À propos de l’UNICEF
L’UNICEF travaille dans certains des endroits les plus difficiles du monde pour atteindre les enfants les plus défavorisés du monde. Dans 190 pays et territoires, nous travaillons pour chaque enfant, partout, pour construire un monde meilleur pour tous.

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Les ministres de la santé font le point sur les progrès de la Stratégie régionale pour la sécurité sanitaire et les situations d'urgence

Les pays de la Région africaine de l'OMS doivent faire face à plus d'une centaine d'urgences de santé publique chaque année. Un grand nombre de ces urgences peuvent être atténuées par des interventions de santé publique éprouvées et des systèmes de santé solides, mais la plupart de ces systèmes de santé restent faibles.
Les délégués au RC69 ont examiné le rapport d'avancement sur la Stratégie régionale pour la sécurité sanitaire et les situations d'urgence pour 2016-2020. Le rapport ne couvre que les travaux effectués entre 2016 (date d'adoption de la stratégie) et 2018. La stratégie a été élaborée pour aider les États Membres à donner suite au Règlement sanitaire international (2005) et à ses objectifs ambitieux que tous les États se sont engagés à atteindre.

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Ebola en RDC : l’OMS convoque une réunion d’urgence après un premier cas à Goma

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, aujourd’hui, la tenue mercredi, d’une réunion de son comité d’urgence sur l’épidémie d’Ebola en République démocratique du Congo (RDC), la quatrième du genre depuis l'apparition de l'épidémie en août 2018. « Comme l’a annoncé hier le Directeur général de l’OMS sur l’éventualité de la tenue de ce Comité d’urgence prochainement, la réunion a été finalement convoquée par Dr Tedros au titre du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) concernant la maladie à virus Ebola (MVE) en RDC. Elle aura lieu le mercredi 17 juillet 2019, de 12 heures à 17 heures (heure de Genève) », a déclaré Fadela Chaib, porte-parole de l’OMS.
Cette réunion intervient au moment où des informations de la presse font état du décès du premier cas de fièvre hémorragique Ebola enregistré à Goma, un malade décédé lors de son transfert à Butembo.
Interrogée sur les raisons de ce nouveau Comité d’urgence, la porte-parole de l’OMS a indiqué que ce dernier cas d’Ebola à Goma « n’est pas la seule raison de la convocation » de cette réunion.
Tous les éléments qui arrivent sur la scène de la lutte contre Ebola sont importants y compris le premier cas à Goma - Fadela Chaib, porte-parole de l'OMS. « Bien sûr, tous les éléments qui arrivent sur la scène de la lutte contre Ebola sont importants y compris le premier cas à Goma », a-t-elle insisté tout en ajoutant que l’Agence onusienne entend apporter une réponse à l’épidémie « sur tous les plans ».
Pour ces échanges qui se tiendront par vidéoconférence, une trentaine d’experts sont attendus et accompagnés par des représentants de Kinshasa et des pays limitrophes de la RDC. « A l’issue de cette réunion, le Comité fera des recommandations à Dr Tedros qui prendra la décision finale sur la déclaration ou pas de l’épidémie d’Ebola en une urgence mondiale », a souligné Mme Chaib sur le déroulé de cette rencontre.
Ça sera la 4ème réunion du comité d’urgence de l’OMS
Il s’agit de la quatrième réunion du comité d’urgence de l’OMS depuis le début de l’épidémie en août dernier. Lors de la dernière en juin, l’OMS avait jugé que l’épidémie en cours constituait une urgence sanitaire seulement pour la RDC et la région.
S’agissant de l’évolution de l’épidémie d’Ebola dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri, le dernier rapport épidémiologique de la maladie publié hier lundi 15 juillet 2019 a fait état d’un cumul des cas de 2.501, dont 2.407 confirmés et 94 probables. Au total, il y a eu 1.668 décès (1.574 confirmés et 94 probables), 700 personnes guéries et 292 cas suspects en cours d’investigation.
Un volontaire de la Croix-Rouge explique les dangers d'Ebola à la frontière entre la République démocratique du Congo et l'Ouganda. Mais selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), cette épidémie touche « plus d’enfants que les précédentes ». « Au 7 juillet, il y avait eu 750 infections chez les enfants.
Cela représente plus du tiers du total des cas, contre environ 20% lors des épidémies précédentes », a déclaré lors d’un point de presse ce mardi à Genève, la porte-parole de l’UNICEF, Marixie Mercado, qui est rentrée dimanche de la RDC après un séjour d’une dizaine de jours dans différentes localités des provinces du Nord-Kivu et d’Ituri, notamment à Goma, Beni, Butembo et Bunia.
Pour l’Agence onusienne, les jeunes enfants - ceux de moins de cinq ans, sont particulièrement touchés. Parmi les 750 cas chez les enfants, 40% concernaient des enfants de moins de cinq ans.
Dans ces conditions, la prévention doit donc être au cœur de la réponse globale à Ebola. « Les jeunes enfants sont plus à risque que les adultes - c’est pourquoi ils nécessitent une attention particulière », a indiqué la porte-parole de l’UNICEF.
L’aide de l’UNICEF aux enfants orphelins d’Ebola

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Une plus grande sensibilisation du public, une collaboration plus étroite, une détection précoce et un dépistage précoce sont essentiels pour lutter contre le cancer en Afrique

La réunion de plaidoyer de haut niveau sur le cancer en Afrique, qui s'est tenue à Niamey, Niger, en marge du sommet de l'Union africaine, s'est terminée par un appel aux pays africains pour qu'ils intègrent des interventions simples contre le cancer telles que la prise en compte des facteurs de risque ainsi que le dépistage et le diagnostic précoce au niveau des soins primaires, pour des raisons d'équité. L'appel a été lancé par la Directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique, le Dr Matshidiso Moeti, lors de son adresse aux délégués présents à cette réunion.

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