Written by: IBM
Category: International
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La mission de la CEDEAO conduite par le nigerien Maman Sambo Sidikou
La Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) fait face à un autre dossier délicat, celui de la modification de la Constitution par le Président togolais Faure Eyadema qui opte désormais pour un régime parlementaire en lieu et place d’un régime présidentiel que le pays connait depuis toujours. Désormais ce n’est plus aux citoyens d’élire le Président de la République mais plutôt leurs représentants (les députés).
Written by: RCF
Category: International
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Les députés togolais lors du vote hier vendredi de la nouvelle constitution
Après des débats parlementaires nourris ce vendredi 19 avril et une consultation auprès de la population togolaise, l’Assemblée nationale de la République du Togo a finalement adopté, à l’unanimité, la proposition de révision de la Constitution. Conçue comme un « nouveau pacte social », elle ouvre la voie au passage d’un régime semi-présidentiel à un système parlementaire.
Written by: Jaharou Mamane
Category: International
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Dans un entretien accordé à ONU Info alors qu’il se trouvait à New York pour faire le point de la situation dans la région devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simão, estime que l’ONU peut aider les pays à combattre le terrorisme. Alors que la Mission des Nations Unies au Mali, la MINUSMA, a achevé son mandat le 31 décembre 2023, à la demande des autorités de transition maliennes, Leonardo Santos Simão revient sur les relations de l’ONU avec le Mali, mais aussi sur le dialogue et la coopération avec le Burkina Faso, le Niger et la Guinée.
Written by: ca/onu
Category: International
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Le Maroc a été élu, mercredi 10 janvier à Genève, à la Présidence du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, devançant l’Afrique du Sud pour cette présidence tournante revenant en 2024 au continent africain. Conformément au règlement intérieur, le candidat ayant obtenu le plus grand nombre de voix et la majorité des membres présents et votants a été déclaré élu Président du Conseil des droits de l’homme.
Written by: INDPT
Category: International
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L'épicentre se trouvait dans les montagnes du Haut Atlas, à 71 km au sud-ouest de Marrakech, à une profondeur de 18,5 km, a indiqué l'US Geological Survey. Le séisme a fait pour le moment plus de 632 personnes, a indiqué le ministère de l'Intérieur du pays. Le séisme a touché les provinces et municipalités d'Al-Haouz, Marrakech, Ouarzazate, Azilal, Chichaoua et Taroudant, ajoutant qu'au moins 329 personnes ont été blessées. Des vidéos non vérifiés diffusés sur les réseaux sociaux montrent des bâtiments endommagés, d’autres bâtiments tremblants et des rues jonchées de décombres. On voit des gens fuir alarmés et certains marcher à travers des nuages de poussière.
Written by: Seidik Abba, Journaliste, Ecrivain
Category: International
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Par Seidik Abba, Journaliste, Ecrivain Auteur de « Mali/Sahel : Notre Afghanistan à Nous ? » (Impacts Editions, Paris, mars 2022)
Aucun élément objectif ne vient justifier l’exigence du retrait pur et simple de la Mission multidimensionnelle des Nations unies au Mali (MINUSMA). Bien au-delà du Mali, cette décision, prise sur un coup de tête, pèsera lourdement sur la sécurité collective sous régionale. Les premiers surpris par la demande de retrait « sans délai » de la MINUSMA du Mali formulée le 16 juin 2023 devant le Conseil de sécurité des Nations Unies par le ministre des Affaires étrangères Abdoulaye Diop furent les Maliens eux-mêmes. Comme à son habitude, le pouvoir de Bamako a choisi la politique du fait accompli en ne consultant, pour une décision de portée nationale, ni les forces politiques, ni le parlement de transition (CNT), à fortiori la société civile indépendante qu’il déteste. Pour un régime dont la seule légitimité repose sur la force et la poudre, la concertation des forces politiques et sociales sur l’exigence de retrait de la MINUSMA n’est pas seulement une question de forme. En réalité plus que sur la forme, c’est sur le fond que cette exigence de retrait sans délai de la mission onusienne du Mali paraît la plus insensée.
Written by: c_onu
Category: International
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L'ONU a apporté un « un soutien multiforme » au Mali avant le référendum constitutionnel qui doit se dérouler ce week-end, a déclaré vendredi le chef de sa mission de maintien de la paix dans le pays, la MINUSMA, lors d'un exposé devant le Conseil de sécurité. « Le moment est évidemment particulier pour la Mission, coïncidant avec les discussions sur le renouvellement de son mandat, ainsi que pour le Mali, qui continue de faire face à de complexes défis sécuritaires et autres », a déclaré le Représentant spécial de l’ONU pour le Mali, El-Ghassim Wane, aux ambassadeurs. Le vote tant attendu de dimanche marque « la première étape du processus devant aboutir à la restauration de l’ordre constitutionnel » et vers les élections présidentielles qui doivent se tenir l'année prochaine à la suite d'un coup d'État en mai 2021. Les citoyens de ce pays d'Afrique de l'Ouest choisiront de soutenir ou non un projet de constitution. La MINUSMA a été créée à la suite d'un coup d'État et d'une rébellion armée dans le nord du pays en 2012, ce qui a conduit à la signature d'un accord de paix en Algérie trois ans plus tard. Son mandat doit être renouvelé à la fin du mois. M. Wane a déclaré que la Mission et l'équipe de pays de l’ONU ont apporté leur soutien à la tenue du référendum, qui était initialement prévu pour le mois de mars.
Written by: Francis Laloupo Journaliste. Essayiste Enseignant en géopolitique
Category: International
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Quels sont les vrais contours et les objectifs à moyen terme de l’offre de coopération russe sur le continent ? Regard sur les termes du discours du chef de la diplomatie de la Russie au lendemain d’une nouvelle tournée africaine.
Sergueï Lavrov a entrepris début février sa troisième tournée sur le continent en six mois, en se rendant cette fois au Mali, en Mauritanie et au Soudan. A chaque étape, comme lors des précédentes tournées, les termes du discours dispensés se résument en une intensification de « l’engagement russe » auprès des pays visités et des régions. Aux Etats du Sahel, le ministre promet une aide accrue dans la lutte contre le terrorisme, mais aussi des soutiens économiques aux contours flous. A cet égard, Lavrov a déclaré à Bamako le 7 février que « la Russie continuera d'envoyer des vivres de première nécessité, de mobiliser nos entrepreneurs à venir investir au Mali dans les différents secteurs, et d’augmenter aussi le quota des bourses d’études… » Un programme dont la banalité peut surprendre de nos jours, surtout lorsque cet éminent représentant de la Fédération de Russie évoque des « vivres de première nécessité », un concept économique anachronique eu égard aux aspirations actuelles des Etats africains. Mais ceci importe peu, puisque cette offensive diplomatique se fonde moins sur la performance des termes de la coopération économique que sur la construction d’une alliance politique la plus vaste possible avec les pays du continent, dans le but de renforcer l’influence de la Russie sur la scène internationale .