photo de famille à l'ouverture de l'atelier de cotonou
L’Unité de Coordination du Partenariat de Ouagadougou organise depuis ce mercredi 19 juin 2024 à Cotonou, un atelier régional qui a réuni des journalistes et blogueurs issus des 9 pays du partenariat de Ouagadougou pour explorer le pouvoir des médias dans la diffusion d'informations essentielles et accessibles sur la santé sexuelle et reproductive.
une vue des participants à la session
L’atelier qui durera trois jours vise à renforcer les capacités des journalistes et blogueurs dans la promotion de la santé de la reproduction, la planification familiale dans les pays membres du Partenariat de Ouagadougou à travers l’utilisation des données probantes.
La cérémonie d’ouverture dudit atelier a été présidée par le conseiller technique au soin de santé primaire du ministère de la santé du Bénin Ce dernier a dans son mot de bienvenue a encouragé les participants à tirer le meilleur bénéfice de cette rencontre.
Ainsi, du 19 au 20 juin 2024, les participants et experts vont passer en revue entre autres, les priorités du Partenariat de Ouagadougou (PO) ; le rôle des journalistes et blogueurs dans l’atteinte des objectifs 2030 ; les principales sources de données probantes en matière de santé de la reproduction/ planification familiale ; les principaux critères d’évaluation de la qualité des données probantes ; les méthodes d’exploitation et de documentation des données probantes sur la santé de la reproduction/ planification familiale.
Aussi, les participants seront outillés sur les techniques de rédaction de blogs et articles de qualité.
Lancé en février 2011 à Ouagadougou, Burkina Faso, le Partenariat de Ouagadougou (PO) a pour but d’accélérer les progrès de l’utilisation des services de planification familiale dans les neuf pays du PO (Benin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Togo). Sa vision est une Afrique de l’Ouest francophone où un accès facile à la planification familiale de qualité sauve et améliore la vie des femmes et des jeunes et sert de catalyseur pour un développement durable pour tous.
Depuis son lancement le mouvement a considérablement amélioré la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles dans la région.