En termes de défis, il s’agit notamment de la lutte contre le changement climatique, de la maîtrise de la croissance démographique, de la restructuration du système éducatif, de la modernisation de notre agriculture et de la promotion d’une culture citoyenne. Aux défis, il faut ajouter la contrainte majeure que constitue le terrorisme qui détourne nos modestes ressources des destinations prioritaires pour le développement.
Le président Tinni reconnaît que face à tous ces défis, le Niger sous la gouvernance du président de la république résiste et progresse. « Point n’est besoin d’être laudatif pour reconnaître le grand mérite du Président ISSOUFOUMAHAMADOUde maintenir notre pays dans une stabilité économique et financière dans un contexte marqué par les risques inhérents à l’environnement international et aux caprices de la nature sont aussi importants les uns que les autres. Qu’il s’agisse des crises financières, de la chute des cours des produits primaires, qu’il s’agisse de l’hydre terroriste, ou des aléas climatiques, l’on peut aisément penser que notre survie tient du miracle ! Mais, point de miracle, plutôt de la détermination, plutôt du sang froid et de la responsabilité pleinement assumée ! »
Ce dernier a animé un point de presse le 1er juillet à son cabinet.Le nouveau président par intérim à réaffirmer l’appartenance de son parti à la mouvance au pouvoir et s’est donné comme première mission de réconcilier les militants et militantes du parti vert.
Dans son discours à la clôture de la première session extraordinaire au titre de Vannée 2018, le président de l’assemblée nationale M Ousseini Tinni a passé en revue les questions d’actualités relatives à la gouvernance du pays.
De la guerre contre le terrorisme à la situation financière du pays en passant par l’harmonisation des textes juridiques communautaires, le constat est reluisant selon le président de l’Assemblée nationale. D’entrée du jeu, le président Ousseini Tinni a rendu un hommage aux forces de défense et de sécurité pour le rude combat qu’elles mènent contre le terrorisme. « Nous arrivons à la fin de cette première session extraordinaire alors que notre pays porte le deuil de certains de ses enfants. En effet, tout récemment encore, certains de nos vaillants soldats sont tombés sur les rives du Lac Tchad, morts pour la patrie, morts pour notre liberté, morts pour que continue à vivre le Niger ! ».
Parlant des textes adoptés pendant cette session, le président a mis un point d’orgue sur le débat d’Orientation Budgétaire et la rectification de la loi de finances en cours. Dont le travail parlementaire a été d’une grande utilité ce qui a permis d’avoir un aperçu sur les potentialités et défis de l’économie nigérienne.
Des potentialités du sous-sol d’une richesse abondante et diversifiées, des terres agricoles fertiles comme les plaines de lTiirazer, le cheptel composé des espèces des plus diverses, c’est une jeunesse fougueuse prête à s’investir dans les grands chantiers de la construction nationale!
En termes de défis, il s’agit notamment de la lutte contre le changement climatique, de la maîtrise de la croissance démographique, de la restructuration du système éducatif, de la modernisation de notre agriculture et de la promotion d’une culture citoyenne.
Aux défis, il faut ajouter la contrainte majeure que constitue le terrorisme qui détourne nos modestes ressources des destinations prioritaires pour le développement.
Le président Tinni reconnaît que face à tous ces défis, le Niger sous la gouvernance du président de la république résiste et progresse. « Point n’est besoin d’être laudatif pour reconnaître le grand mérite du Président IS-SOUFOU MAHAMADOU de maintenir notre pays dans une stabilité économique et financière dans un contexte marqué par les risques inhérents à l’environnement international et aux caprices de la nature sont aussi importants les uns que les autres. Qu’il s’agisse des crises financières, de la chute des cours des produits primaires, qu’il s’agisse de l’hydre terroriste, ou des aléas climatiques, l’on peut aisément penser que notre survie tient du miracle ! Mais, point de miracle, plutôt de la détermination, plutôt du sang froid et de la responsabilité pleinement assumée ! »
S’agissant de la rectification de la loi de finances 2018, dira le président de l’Assemblée nationale, il faut se féliciter qu’une fraction importante des ressources additionnelles escomptées serve à réduire significativement la dette intérieure. Ainsi va-t-il indiqué, plus de vingt-deux milliards seront injectés dans le secteur privé national.
Parlant de la dette, Ousseini Tinni dira que plus que son volume, c’est sa qualité et l’emploi qui en est fait dont il faut se préoccuper. « En effet, emprunter et investir pour produire des richesses voilà ce qui est utile pour le pays. Par contre, toute dette qui ne génère pas les conditions de son remboursement est, à terme, dangereuse.
Fort heureusement au Niger, tous les différents indicateurs financiers rassurent quant à la pertinence de notre endettement. Si nos concitoyens sont assez régulièrement informés des ratifications des accords de prêt par l’Assemblée nationale, tout autant, ils constatent sur le terrain les immenses travaux que l’Etat engage ».