Written by: Jaharou Mamane
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La 20e édition du Classement mondial de la liberté de la presse établi par RSF révèle une double polarisation, amplifiée par le chaos informationnel : polarisation des médias entraînant des fractures à l’intérieur des pays et polarisation entre les États sur le plan international. Le Classement mondial de la liberté de la presse, qui évalue les conditions d’exercice du journalisme dans 180 pays et territoires, démontre en 2022 les effets désastreux du chaos informationnel (un espace numérique globalisé et dérégulé, qui favorise les fausses informations et la propagande). Dans les sociétés démocratiques, le développement de médias d’opinion sur le modèle de Fox News et la banalisation des circuits de désinformation, amplifiée par le fonctionnement des réseaux sociaux, provoquent un accroissement des clivages. Sur le plan international, l’asymétrie entre, d’une part, les sociétés ouvertes et, d’autre part, les régimes despotiques qui contrôlent leurs médias et leurs plateformes tout en menant des guerres de propagande, affaiblit les démocraties. Aux deux niveaux, cette double polarisation est un facteur d’intensification des tensions.
Written by: MAD
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Face à la dégradation continue de la situation sécuritaire de notre pays, à l’imminence d’un déploiement de troupes étrangères, à la détérioration sans précédent des conditions de vie de notre peuple et aux violations répétées des droits individuels et collectifs, la Coalition CAP20-21, ACC, FRC et Alliés fait le Communiqué de presse suivant.
1. De l’insécurité grandissante La situation de l’insécurité dans notre pays s’est encore traduite par l’assassinat, le 15 mars 2022 d’au moins vingt et une (21) personnes incendiées par des terroristes dans la Région de Tillabéry sans que les victimes de cette immense tragédie n’aient eu droit à un deuil national ; s’ajoute à ce drame, le rapt en plein jour à Niamey suivi de l’assassinat du Caporal-chef Maman Mansour, crime non encore élucidé, tout comme l’assassinat de Abdoulaye Hamadou dit Agni, figure de proue des manifestations du 27 novembre 2021 à Téra contre le passage des forces étrangères, évènement suite auquel trois (3) de nos compatriotes ont été tués. Il est impérieux que le régime en place mette fin à la perpétuelle fuite en avant dont il est passé maître et cesse ses déclarations attentatoires aux règles de bienséance entre voisins. De telles pratiques sont contraires aux normes communément admises dans les relations diplomatiques entre Etats. Il est tout aussi impérieux que le régime prenne, enfin, toutes les mesures idoines pour ramener la paix, la sécurité et la quiétude sociale dans notre pays.
Written by: Jaharou Mamane
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Au Niger, le riz constitue la troisième céréale après le mil, le sorgho en termes de production, correspondant à 2,3 pour cent du volume de céréales produites annuellement. On estime que le riz local ne représente que 1,7 pour cent du chiffre d’affaires du secteur de la production agricole primaire. Tout en étant une culture d’importance marginale, le riz pèse cependant, depuis 1975, de façon de plus en plus lourde sur le déficit céréalier. En effet la production nationale ne couvre qu’environ 30 pour cent des besoins du pays. Le Niger ambitionne de renforcer la riziculture pour l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire. Cette démarche passe par la levée de quelques contraintes au développement de la riziculture au Niger. Ces obstacles sont entre autres ; une maitrise insuffisante des techniques rizicoles par les producteurs ; un faible niveau d’utilisation de pratiques culturales performantes, de semences de qualité et d’engrais ; des difficultés d’accès au crédit ; des difficultés d’accès aux entrants, en particulier aux semences de qualités et à l’engrais ; une gestion peu efficace de l’eau d’irrigation.
Written by: Jaharou Mamane
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Le président français Emmanuel Macron a réaffirmé, mercredi devant le parlement européen à Strasbourg, sa volonté de "refonder le partenariat avec l’Afrique" et "retrouver la maitrise" des frontières européennes. Pour montrer sa détermination, le président français annonce un sommet, dès février prochain pour « refonder (le) partenariat avec le continent africain ». L’Europe a « le devoir de proposer une nouvelle alliance au continent africain » dans la mesure où « les destins des deux rives de la Méditerranée sont liés » a estimé le président français.
Written by: MAD
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Le président du Conseil Supérieur de la Communication Dr SANI kabir a présidé ce mercredi 23 septembre 2021 à son cabinet, une cérémonie de signature de la Convention d’établissement de Radio Jeunesse Sahel entre le CSC et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre de la Communication chargé des Relations avec les Institutions M. Mahamadou ZADA et la délégation de l’OIF conduite par Son Excellence l’Ambassadeur Désiré NYARUHIRIRA, Conseiller spécial de la Secrétaire Générale de ladite organisation et Monsieur André Abel BARRY, Directeur du Projet Radio Jeunesse Sahel (RJS).
Written by: Jaharou Mamane
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Sur les cent (100) internats qui seront créés sur toute l’étendue du territoire pour ses cinq (5) ans à la tête du Niger, le Président de la République Mohamed Bazoum vient d’inaugurer le premier. C’est la commune rurale de Kellé dans le département de Gouré (Région de Zinder), qui a vu naitre le premier échantillon d’un prototype d’école internat nouvelle version. Lundi 30 Août 2021, le chef de l’Etat a fait le déplacement en personne pour inaugurer l’internat des jeunes filles de Kellé. L’infrastructure va accueillir 144 jeunes filles qui sont admises en classe de 6ème à la rentrée scolaire 2021-2022. A travers ce projet, le Président de la République Mohamed Bazoum envisage de renforcer davantage la scolarisation de la jeune fille et surtout son maintien à l’école en milieu rural. Alors candidat aux élections présidentielles, le président Mohamed Bazoum s’est engagé sur le maintien des jeunes filles à l’école : « Notre action focalisera ses interventions sur les localités à forte réticence à l’éducation et la formation des filles et des femmes. A cet effet, les villages dont les établissements scolaires et les centres de formation présentent un faible effectif de filles et de femmes feront l’objet d’une attention particulière. En général il s’agira de promouvoir l’accès et le maintien scolaire des filles en milieu rural, de lutter contre les Violences Basées sur le Genre (VGB) en milieu scolaire, de favoriser l’inclusion des filles et des femmes handicapées, de renforcer la participation des Filles dans les filières scientifiques, techniques et professionnelles, et d’améliorer l’employabilité des filles » a –t-il indiqué. En dehors de leur autonomisation, le maintien des filles à l’école, c’est aussi agir pour créer les conditions d’une transition démographique dans un pays qui a le taux le plus élevé de fécondité au monde avec une moyenne de 7,1 enfants, selon l’étude nationale indicateurs multiples (EDSN-MICS 2012). Après le discours, le concret Quatre (4) mois seulement ont suffi au président de la République pour joindre l’acte à la parole par rapport à son projet phare de construction des internats pour filles dans les zones les plus reculées du pays. A travers l’opérationnalisation de ce premier internat, le président de la République Mohamed Bazoum a fait preuve de pragmatisme entend-on çà et là dans les quatre coins du pays. A chacune des occasions qui s’offrent à lui, le Président de la République Mohamed Bazoum annonçait la création des internats pour filles conformément à son projet de société qu’il a présenté aux citoyens nigériens lors des campagnes pour les élections présidentielles 1er et 2ème tour de l’année 2020-2021. Désormais plus aucun doute sur les annonces du président de la République. Les promesses sont en train de se concrétiser à la satisfaction générale de tous ceux qui suivent et notent les annonces du Président de la République en matière des réalisations dans le programme de Renaissance acte III. L’école qui constitue l’une des priorités du Président de la République est entrain de porter l’emprunte et surtout la touche du Président de la République. Les examens de fin d’année entachés depuis plusieurs années par des fraudes et fuites des sujets tant au niveau du BEPC que du BACCALAURET ont été cette fois-ci propres reflétant le niveau réel des élèves avec un taux d’admission national de20, 50% au BEPC en attendant les résultats globaux définitifs pour le Baccalauréat. Les surveillants et correcteurs de ces examens de fin d’année qui accusaient des impayés ont tous été mis dans les conditions afin de mener à bien leur mission d’évaluateurs. La préparation d’un atelier national pour la révision de la Loi d’Orientation du Système Scolaire Nigérien (LOSEN) et la prise d’un arrêté précisant l’entrée dans les Ecoles Normales d’Instituteurs (ENI) avec le diplôme du baccalauréat sont autant de preuves de la détermination du Président de la République à redorer le blason de l’école nigérien. L’autre grand chantier qui reste à amorcer par le Président de la République, c’est la fin de la contractualisation accompagné de la construction des salles de classes en matériaux définitifs. A ce niveau également, le Président de la République ne va pas baisser le bras car le programme de la Renaissance acte III prend en compte tous les aspects qui vont aboutir à la Renaissance de l’école nigérienne. La mise en place d’un comité chargé de réfléchir sur l’harmonisation ou l’équité sur les frais de scolarité est aussi là pour témoigner de la détermination du chef de l’Etat de créer les conditions nécessaires de faire renaitre l’école nigérienne.
Written by: L'indépendant Plus
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Après la phase de sélection, les candidats retenus au Niger, dans le cadre du programme le "Livre Contre les Maux de la Cité, édition 2021, ont acquis de nouvelles techniques pour mieux affiner leurs textes pour la suite dudit programme. C’est à la faveur d’un atelier déroulé du 26 au 28 août à la maison de la presse de Niamey sur le thème : Lutte contre les violences faites aux filles et aux femmes, regards des jeunes écrivains ouest africains.
A en croire Sègnigbindé Camille, président de l’Association Ecrivains Humanistes du Bénin, structure initiatrice du programme, cette activité règlementaire de l’initiative s’est déjà déroulée dans les autres pays cibles du projet. « La phase des ateliers au Niger, après le Bénin et le Togo, vise à aider les participants – candidats à s’approprier la thématique et le genre littéraire objet du concours, tout en apprenant de nouvelles techniques pour améliorer leurs premiers textes soumis », informe -t-il.
Et pour l’acquisition desdites nouvelles connaissances, les candidats ont suivi plusieurs communications sur la chaine du livre et sur la thématique au cœur de l’édition 2021 de l’initiative. « L’atelier a été pour moi une occasion de partager mes expériences avec de jeunes aspirants écrivains nigériens et ça m’a permis de constater qu’au Niger, nous avons potentiellement de talents qui ne demandent qu’à éclore, qu’à exposer ce qu’ils connaissent du domaine de l’écriture de la fiction et ne demandent que leurs ainés leur montrent la voix par lesquelles leurs talents peuvent s’affirmer », constate l’encadreur principal des candidats, le Secrétaire Général de l’Association des Ecrivains Nigériens, Oumarou kadry koda. Quant aux candidats, ils se disent satisfaits de l’activité tout en exhortant à prollnger la durée du déroulement pour les fois suivantes.
Le Livre Contre les Maux de la Cité, à sa 6e édition cette année, cible les jeunes écrivains en herbe de 18-35 ans au plus au Bénin, au Niger, au Togo et en Côte d’Ivoire. Pour sa mise en œuvre cette année, il a bénéficié des appuis de plusieurs partenaires dont le Bureau de la Coopération Suisse au Bénin, Le Littéraire Togo, les Editions Encres Universelles, Les Editions Savanes du Continent…
Découvrir des projets multi-acteurs et innovants pour la santé de la mère et de l’enfant au Niger/Mali
Après six mois d’accompagnement, les équipes CoLAB ont le plaisir de présenter les 5 projets lauréats au Niger ayant bénéficié d’un soutien financier et technique pour développer des solutions répondant aux défis du secteur de la santé materno-infantile.
Le DemoDay c'est l'opportunité de (re)découvrir le programme et la méthodologie CoLAB pour favoriser les collaborations pour le développement et rencontrer des porteurs de projets innovants afin d’identifier de potentielles synergies à développer. C'est également l'occasion de se (re)connecter à l’écosystème en rencontrant les parties prenantes du secteur.
Enfin, lors de cet événement seront annoncés les 3 projets qui bénéficieront d’un accompagnement technique et financier supplémentaire lors d’une phase d’accélération de 4 mois permettant de booster leur solution !
Au programme :
(Re)Découverte du programme CoLAB Santé de la Mère et de l’Enfant au Mali et au Niger ;
Session Pitch des 5 projets lauréats ;
Annonce des projets sélectionnés pour la phase Accélération et qui bénéficieront d’un accompagnement et d’un financement pour booster leur solution et passer à l’échelle.
Lancé en 2020 par l’Institut de Recherche pour le Développement, Bond’innov et makesense Africa, avec le soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), le programme CoLAB Santé de la Mère et de l’Enfant a pour ambition d’accompagner le développement d’écosystèmes de collaboration pour la résolution des grands défis du secteur.
La méthodologie CoLAB permet ainsi de décloisonner les secteurs de la recherche, du public et du privé afin de favoriser des collaborations multisectorielles au service des Objectifs de développement durable (ODD).
Pour en savoir plus sur le programme CoLAB cliquez ici, et pour découvrir les projets accompagnés cliquez ici.